Pollutions environnementales, mesure et sciences participatives

Dans un ensemble de contextes locaux et nationaux, les pollutions environnementales (eaux, sols, air) confrontent les populations exposées à une absence de savoir sur les risques qu'elles encourent. La production de nouvelles données sur l'ampleur des pollutions et ses effets sur la santé devient alors un enjeu crucial de la prise en charge politique de ces questions. Les pollutions aux substances poly- et perfluoroalkyl (PFAS), aussi appelées « polluants éternels », en ont donné un exemple récent. Dans un ensemble de contextes locaux et nationaux, les pollutions environnementales (eaux, sols, air) confrontent les populations exposées à une absence de savoir sur les risques qu'elles encourent. La production de nouvelles données sur l'ampleur des pollutions et ses effets sur la santé devient alors un enjeu crucial de la prise en charge politique de ces questions. Les pollutions aux substances poly- et perfluoroalkyl (PFAS), aussi appelées « polluants éternels », en ont donné un exemple récent. Cette journée d'étude se concentre sur les dispositifs dits de « science participative », une modalité de plus en plus répandue de cette création de nouvelles données. Cette expression désigne l'inclusion, plus ou moins forte selon les cas, des publics concernés par les pollutions dans l'élaboration de nouveaux savoirs scientifiques.